Cette lourde défaite pour elle et les démocrates ne restera pas inaperçue, mais dans les annales de l’histoire de ce parti qui doit nécessairement faire une analyse sur le dysfonctionnement de cette campagne historiquement ratée.
Kamala Harris, s’est battu avec de nombreuses incohérences politiques, la première n’était pas forcément en osmose avec Joe Biden et une grande partie des démocrates sur de nombreux sujets. Comme l’aide militaire à un pays allié et ami, comme celle de réécrire certaines histoires liées aux États-Unis au point de vouloir déshonorer nombreux emblèmes et héros du passé.
Nous n’avons pas senti lors de ses meetings électoraux des discours pouvant changer et améliorer le quotidien des Américains, son principal sujet était de critiquer les adversaires et de dire qu’elle souhaitait sans développer être la Présidente des Américains. ?
UN BUDGET ILLIMITÉ EN DÉPENSES PUBLICITAIRES
Les démocrates ont dépensé sans compter des millions en campagne électorale, 450 000 Dollars pour une campagne de 4 h à Las Vegas, des millions de dollars sur les quotidiens, des spots publicitaires très couteux avec des messages sans aucunes nouveautés, des spots sur spot.
Sa campagne n’a pas vraiment apporté des nouvelles idées que nombreux Américains et soutiens démocrates pouvaient attendre. Son premier sujet de campagne descendre était de rabaisser les démocrates, mais surtout son adversaire Donald Trump, ce n’est pas vraiment pas aperçu et les résultats finaux d’une lourde défaite ne contredisent pas cette campagne inefficace.
Elle a reçu des soutiens d’artistes mondialement connus qui aujourd’hui sont probablement devenus moins influents que lors des dernières élections. Des soutiens probablement couteux d’artistes n’ayant plus la même influence sur le public que dans le passé, Nombreux artistes se sont ridiculisés auprès de leurs nombreux fans Américains Elle aura selon nous deux alliés de poids, Barack Obama et Beyoncé qui aura fait gagner à Kamala de nombreux points, mais des artistes comme Julia Roberts ou Jennifer Lopez n’ont peut-être pas apporté un message d’union.
Kamala Harris, ancien Procureur reconnu très dur avec une certaine communauté, Nombreux électeurs n’ont pas oublié sa dureté envers eux surtout les Afro-Américains, ceux qui ont poussé une grande majorité d’artistes Rap US d’aider et soutenir la campagne de Donald Trump le voyant beaucoup plus juste envers eux et tous les Américains.
Sa campagne électorale voulant sensibiliser l’opinion publique, mais aussi l’électorat Musulman sur l’idée qu’elle pouvait cesser de livrer des armes à Israël ne lui a pas porté chance au contraire nombreux musulman pouvant être eux-mêmes contre le terrorisme Islamiste ont décidé de ne pas voter pour elle, mais pour Donald Trump.
Ses différents discours contre la politique de défense de l’Etat d’Israël contre le terrorisme Islamiste qu’elle doit affronter pour sa survie n’est pas non plus resté inaperçu malgré les nombreuses aides des démocrates US envers Israël, Le vote des Juifs Américains soutenant le droit à Israël de se défendre s’est dirigé vers Donald Trump et les républicains, mais également le vote de nombreux évangélistes Américains qui pour la grande majorité considère Israël comme une partie d’eux-mêmes.
La Candidate démocrate Kamala Harris paye ses nombreuses positions contradictoires et son slogan principal très fade, je serai la PRÉSIDENTE POUR TOUS LES AMÉRICAINS n’a pas suffi. À l’écoute des résultats finaux, elle ne saluera et remerciera personne, nous l’avons tous vu se retirer chez elle, une grande désolation pour ses fans.
DISCOURS AUPRÈS DE SES FANS
Elle reconnait sa défaite, félicitera Trump par téléphone lui demandant l’union Américaine, chose qu’il a déjà entrepris sans que personne ne lui demande, à la suite de cet appel, auprès de son public, elle évoquera une seule idée. J’ÉTAIS LE BIEN CONTRE LE MAL, J’ÉTAIS LA RAISON, CE SONT DES FACHISTES.
Elle continue dans la critique alors que le matin même des résultats, elle demandait l’union.
UNE LOURDE DÉFAITE POUR LES DÉMOCRATES
Cette défaite très lourde devrait remettre en cause les démocrates, en perdant le contrôle du Sénat, de la Chambre des représentants, de l’influence populaire, mais aussi de grands financiers US et mondiaux. Un mea-culpa est nécessaire alors que Donald Trump est félicité par le monde entier de sa victoire écrasante contre un système institutionnel probablement à changer.
Les démocrates ont désormais quatre ans pour préparer au mieux une nouvelle équipe gagnante, mais surtout de trouver un véritable leader. Bloomberg serait-il la solution ?